La campagne de phoning constitue la pierre angulaire d’une opération télémarketing. Dans cet article, nous allons voir l’importance d’une campagne de téléprospection en centre d’appels et la méthodologie appropriée pour réussir sa stratégie de marketing.
La campagne de phoning est un processus au travers duquel l’entreprise établit une relation directe par téléphone avec le client en vue de vendre ses services ou produits.
Elle peut être effectuée dans un centre de relation client ou par une personne isolée, notamment un commercial.
La campagne de prospection peut être sous forme de :
La campagne de prospection permet de gagner de nouveaux clients ou de fidéliser les clients existants.
Passer des heures au téléphone est une tâche perçue comme rébarbative par les commerciaux ; certains professionnels pensent que les commerciaux ont pour objectif principal la vente et le phoning ne doit pas être chronophage pour eux.
Ainsi, pour préparer l’entretien avec le commercial, les télévendeurs formés :
Ces professionnels de la téléprospection assurent aussi la relance d’un client après une prospection emailing. Contrairement aux campagnes emailing et sur papier, l’appel est un moyen de contact plus humain et chaleureux qui rassure et réconforte la personne à l’autre bout du fil.
3 règles de base sont à retenir pour réussir sa campagne phoning :
Chercher des clients au fort potentiel permet de constituer une base de données pertinente et évite de perdre du temps. Le recours à l’enquête marketing aide à cibler les bons prospects en fonction de l’âge, la zone géographique et d’autres paramètres déterminants de la campagne.
Afin de bien préparer sa campagne, votre argumentaire doit être bien rodé. Pour cela, il va falloir évaluer son efficacité et procéder à des réunions de débriefings visant à travailler sur les objections auxquelles font face les agents. À travers le script, l’agent doit pouvoir : accrocher, présenter, argumenter et conclure.
La formation est indispensable en vue d’assurer une stratégie de prospection efficace. L’agent doit maîtriser le langage, apprendre à argumenter, et déjouer les barrages.
Des modules de formation spécifiques doivent être proposés aux téléprospecteurs pour les aider à s’adapter à tous types de situations. Ils doivent en effet savoir rester courtois, quelle que soit l’attitude adoptée par le client. Pour ce faire, des simulations sont recommandées pour les préparer.
En outre, l’agent doit disposer de tous les arguments nécessaires pour accrocher le client et promouvoir son offre. Enfin, son superviseur identifiera les points forts et les lacunes observées pour le coacher et apporter les améliorations qu’il faut.
Les sociétés étrangères se tournent naturellement vers la délocalisation lorsqu’elles envisagent de lancer des campagnes de prospection pure. Si vous avez besoin de plus de renseignements sur l’externalisation au Maroc, contactez-nous.
Les centres de contact marocains valorisent fortement le secteur de la relation client au travers d’un vaste programme de formations continues. Destinées aux collaborateurs, elles ont pour but de les faire progresser rapidement.
Si tout le monde n’est pas apte à exercer ce métier – par manque de confiance ou à défaut de compétences -, une formation de qualité permet à tout le personnel de percer dans ce domaine.
Découvrons ensemble quelles sont les différentes formations nécessaires pour évoluer dans un centre de relation client.
La formation aptitude peut être regroupée en 2 grandes catégories : la formation au langage non verbal et celle du langage verbal.
La formation logiciel fait partie intégrante du programme de formation dans les centres de relation client. Que ce soit un téléconseiller, un superviseur ou encore un chef de plateau, une formation aux outils CRM est indispensable pour améliorer la performance des collaborateurs.
Avec la technologie qui ne cesse d’évoluer, le personnel doit être à jour sur les nouveautés pour être plus productif et efficace dans la relation client. L’entreprise vise en ce sens à maximiser ses ventes avec des logiciels de phoning de qualité. Ainsi,pour maîtriser un logiciel CRM avec gestion des contacts, agenda, multi-campagnes, la formation est de mise.
Lorsqu’un employé dispose des atouts nécessaires pour qu’il soit promu, il doit avoir l’appui et les modules de formation requis pour évoluer sereinement. Pour mener à bien des missions à responsabilité, il va falloir acquérir des compétences en gestion pour être crédible aux « yeux » de l’entreprise.
Sous la direction du responsable plateau, le superviseur va devoir mettre tout en œuvre pour atteindre les objectifs de vente et de satisfaction client. Au cours de la formation, l’aspirant superviseur suivra un programme axé sur :
Le chef de plateau, responsable plateau ou responsable production doit pouvoir mener les missions suivantes :
Ce professionnel doit suivre une formation supérieure en matière de management. Il doit être parfaitement autonome, méthodique et diplomatique pour communiquer efficacement et gagner le respect de ses collaborateurs. Il devra aussi apprendre à maîtriser des outils bureautiques.
Outre les postes de supervision et responsable de production, de nombreuses autres possibilités existent en fonction de la structure. Ainsi, les formations seront programmées selon le poste convoité.
Pour plus de renseignements sur les formations en centre d’appels, contactez-nous.
Après le numéro vert anticorruption, le lancement d’un centre d’appels au Maroc en vue de lutter contre la corruption est imminent.
Il faut rappeler que les méthodes traditionnelles de dénonciation (plaintes directes) permettent, tous les ans, de signaler 7 000 cas de corruption. Toutefois, le numéro vert est un service complémentaire qui a déjà fait ses preuves.
Selon le ministère de la Justice, lors de la présentation de son budget sectoriel pour l’année 2018, 31 personnes ont été condamnées grâce au numéro vert anticorruption entre le 25 juin 2015 et fin septembre 2017.
Les opérations qui « ont échoué » sont dues au fait que « le plaignant a cessé de collaborer » ou parce que le répondant n’a pas accepté le pot-de-vin, précise le ministère.
Et l’on prévoit un service encore plus performant par l’intermédiaire d’un centre d’appel dédié. Le titulaire du portefeuille de la Justice a fait savoir que le projet est en cours d’exécution après avoir fait l’objet d’un marché public.
Ce dispositif a pour but de remédier aux inconvénients du numéro vert. En effet, la ligne reçoit en moyenne entre 1 000 et 2 000 appels téléphoniques et étant donné le nombre limité de magistrats (3 seulement en ligne), trop d’appels restent en attente. La gestion devient pénible ; qui plus est, l’objet de l’appel est souvent incohérent au service proposé par le numéro vert.
Avec la mise en place de ce centre d’appels, « une quinzaine de personnes feront office d’intermédiaires entre les magistrats et les appelants. L’objectif est de filtrer les appels, pour n’en garder et ne nous transférer que ceux qui relèvent de la corruption », avait confié l’un des magistrats responsables du numéro vert anticorruption, en 2016.
En somme, le secteur des centres de relation client continue à s’enrichir de nouveautés au Maroc. Pour plus de renseignements sur la création d’un centre de contact sur le territoire marocain, contactez-nous.
Sofrecom, véritable figure de proue dans le conseil et l’ingénierie du secteur des télécommunications, inaugure le 12 décembre au Casa Near Shore Park ses nouveaux bureaux.
Le géant français est en effet un leader en matière des télécommunications, des NTIC (Nouvelles technologie d’information et de communication) et de la transformation numérique.
À l’occasion de cet évènement, le ministre marocain de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Économie numérique Moulay Hafid présidera l’inauguration avec Marc Rennard, président de Sofrecom et DGA d’Orange, et Guillaume Boudin, DG de Sofrecom.
Sofrecom vise ainsi à déployer ses activités au Maroc et contribuer à la stratégie de développement du pays dans le cadre du programme Maroc Numérique 2020.
Alors que Fès se prête parfaitement à l’externalisation au Maroc, la ville de Casablanca dispose aussi d’un emplacement favorable en raison des nombreux avantages qu’elle propose :
Encore une fois, le Maroc démontre qu’il est une destination idéale pour l’investissement étranger. Pour plus de renseignements sur les projets offshore et la délocalisation des activités au Maroc, contactez-nous.
Source : https://www.infomediaire.net/tic-un-leader-mondial-du-conseil-mise-gros-sur-le-maroc/
La MITC, société gestionnaire du parc d’activités Technopark de Casablanca, envisage de fournir un apport de 200 MDH aux startups du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Pour concrétiser ce projet, ce dispositif appelé Maroc Numeric Fund II obtient l’appui du programme baptisé « Innov Invest » de la Caisse centrale de garantie (CCG) et des trois banques BMCE Bank, Attijariwafa Bank, et Chaâbi Capital Investissement.
Le but du MNF II est d’encourager les entrepreneurs marocains en vue de les aider à développer leurs activités et être (encore) plus compétents dans leur domaine. En outre, une part de 20 % sera puisée du fonds d’investissement afin de financer les secteurs de greentech, de biotechnologies ainsi que tout autre secteur généraliste à fort potentiel.
Dounia Boumehdi, directrice générale de MITC Capital (société en charge de Maroc Numeric Fund II et du précédent programme : Maroc Numeric Fund I) est très satisfaite de ce projet : « Le fonds de 200 millions de dirhams nous permettra de capitaliser sur notre expérience et poursuivre nos opérations dans le financement et le soutien des startups opérant essentiellement dans le secteur des TIC. » Il faut aussi travailler « en bonne intelligence avec l’ensemble des fonds et structures d’accompagnement retenus dans le cadre du programme Innov Invest », ajoute-t-elle.
De son côté, Lamiae Benmakhlouf, responsable du Technopark, confie que MITC a déjà contribué à hauteur de 20 % au premier financement Maroc Numeric Fund I (100 MDH) où « 6 entreprises du Technopark, sur un total de 17 participations, ont bénéficié du soutien de financement de MNF».
Ce nouveau projet est établi en parallèle avec la stratégie Tech-Innov de Technopark, en collaboration avec IBM et Happy Ventures, dans le soutien des startups innovantes les plus porteuses du secteur numérique. Un programme visant à accompagner, booster, former et certifier ces jeunes entreprises.
Si vous avez besoin de plus de renseignements sur la création d’une startup au Maroc, contactez-nous.
91 % des professionnels Marocains soulignent l’importance de la sécurité informatique. C’est ce que révèle l’enquête de Kapersky Lab, en partenariat avec le cabinet d’études Averty, sur les comportements et attitudes des professionnels liés à la sécurité informatique au Maroc.
Nous connaissions tous la position prédominante du Maroc dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Après avoir été désigné comme l’une des nations les plus sophistiquées du monde par le rapport Global competitiveness 2015 de Genève, l’Empire chérifien a un nouvel objectif à atteindre : renforcer son implication en matière de protection informatique.
L’étude de Kapersky Lab a été faite en ce sens pour évaluer la situation de la cybersécurité au Maroc. Avant d’aller plus loin, il faut savoir que l’enquête a réuni 714 personnes, âgées de 21 ans et plus. Elles sont réparties sur 40 villes (dont 26,5 % de l’axe Casablanca-Rabat, 12,5% d’Agadir, 9 % de Marrakech et 8 % de Fès) et exercent dans 26 domaines d’activité différents et des entreprises de toute taille. L’ensemble des répondants indiquent qu’ils font usage d’un support électronique dans le cadre professionnel : 46,2 % utilisent des ordinateurs fixes, 28,8 % des ordinateurs portables, 30,1 % ont plutôt recours aux smartphones, alors que 6,9 % utilisent des tablettes.
Pour lutter contre les cyberattaques, une grande majorité des sondés (84.6 %) précisent avoir recours principalement à l’antivirus. Ainsi, 63 % des menaces informatiques les plus fréquentes s’avèrent être des virus contre 21.4 % qui sont des logiciels malveillants et 16.9 % causant la perte de données. Et 21 % des entreprises révèlent avoir déjà subi une cyberattaque.
Il faut noter aussi l’intervention du département de l’informatique dans seulement 50 % des cas des problématiques. Le reste des répondants confient que c’est soit l’utilisateur, soit un prestataire externe de l’entreprise, des collègues ou des connaissances en dehors de l’entreprise qui s’en occupent.
En ce qui concerne les rançongiciels tels que Wanacry et Petya, près de 80 % pensent être susceptibles de ces attaques. Julien Pulvirenti, responsable des ventes pour l’Afrique du Nord, est très concerné et fait un appel contre ces dangers pour la sécurité informatique. Il propose en ce sens de miser sur l’éducation et la formation pour « lutter efficacement contre la cybercriminalité ».
En effet, 40 % des personnes interrogées disent avoir déjà branché sur leurs terminaux des clés USB étrangers et 33 % affirment avoir au moins une fois cliqué sur des fichiers envoyés par des inconnus. De plus, 46 % confient ne pas changer de mots de passe – un facteur qui place directement l’utilisateur dans le collimateur des pirates informatiques. Et près de 30 % ne tiennent pas compte des règles de sécurité, comme lorsque l’on retarde les mises à jour par exemple.
Pulvirenti aspire à ce que « les investissements technologiques et humains en la matière deviennent des priorités.» Selon lui, « internet étant maintenant devenu un pilier de nos existences, la cybersécurité doit faire partie intégrante de l’éducation, tout au long de nos vies, autant d’un point de vue personnel que professionnel ».
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Avec l’avènement des technologies de plus en plus sophistiquées et de la délocalisation des activités, la ville de Fès est devenue une destination incontournable pour le secteur de l’offshore. Actuellement, 30 centres de relations client sont en activité dans la région et comptent un effectif total de 5 000 personnes. Et le parc Fès Shore dispose, à lui seul, de plus de 50 % de l’effectif. Un responsable de la ville confie qu’en 5 ans, ils ont créé plus d’emplois que l’industrie en 20 ans.
Les dirigeants de Fès affichent clairement leur optimisme et révèlent « que la construction de la 2e tranche de Fès Shore est prévue incessamment ». Selon eux, « Fès doit miser sur les secteurs innovants, générateurs de valeur ajoutée et notamment les TIC ».
La région est idéale pour les investissements venant de l’extérieur. En effet, elle possède de nombreux atouts : cinq universités (180 filières), 123 centres de recherches et laboratoires, 101 unités de formation et un institut national de plantes médicinales et aromatiques.
Acticall-Sitel Group, entreprise spécialisée en relations client à distance, a ouvert un nouveau centre à Fès Shore depuis 2015. Avec une superficie de 4 081 m ², le plateau d’Acticall comprend 677 salariés et vise à atteindre au moins 800 en 2018. En vue de répondre au mieux aux besoins de ses clients, le groupe « compte ouvrir un deuxième site à Fès à l’horizon 2019 compte tenu de la bonne performance réalisée par le premier site de Fès », laisse entendre Vincent Couchard, directeur de la filiale de Fès.
Parallèlement, Mohsine Touali, directeur du site CGI Fès Shore, est d’avis que « la ville de Fès a été logiquement choisie pour son bassin d’emploi dynamique avec un vivier de talents du numérique très riche, grâce notamment à l’Université Euro-Méditerranéenne de Fès (UEMF) ». De plus, il souligne les partenariats stratégiques avec l’université de Fès et l’école INSA Toulouse établie à Fès.
Il faut le noter : CGI est un groupe canadien indépendant de services en technologie de l’information et en gestion des processus d’affaires. La filiale marocaine compte 70 salariés depuis sa création en 2016. Mohsine Touali prévoit 250 salariés d’ici 2019 et se réjouit de « s’inscrire dans la dynamique économique de Fès en tant que première ESN (Entreprise de services du numérique) majeure à y accueillir de nouveaux talents ».
Les éloges sur Fès n’en finissent pas de pleuvoir, cette fois-ci du côté d’Amine Zarouk, directeur de la filiale d’Alten Maroc. Il qualifie la ville comme « un bassin RH abondant et de qualité, un niveau de vie relativement bas par rapport à une métropole comme Casablanca et un turn-over moins important que la moyenne du secteur ». Grâce à l’infrastructure du parc Fès Shore, ce pionnier de l’ingénierie et du conseil en technologie peut relever les défis majeurs et satisfaire aux besoins des clients les plus exigeants.
Depuis 3 ans, Alten Maroc est active sur le territoire marocain et compte aujourd’hui 250 collaborateurs. Les objectifs du groupe sont d’élargir sa clientèle à travers toute l’Europe sur les activités software. Pour ce faire, Zarouk envisage de gonfler son effectif à 500 collaborateurs jusqu’à 2020, et 1000 à terme. Il termine en affirmant que « le parc Fès Shore donne un important avantage en termes de réactivité favorisant une extension rapide ».
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Source : http://www.leconomiste.com/article/1020218-fes-se-positionne-sur-l-economie-du-savoir
Le Royaume du Maroc, pays du Maghreb situé en Afrique du Nord, fait figure d’eldorado pour les investisseurs du monde entier. C’est pourquoi ils sont nombreux à se tourner vers cette destination pour externaliser leurs activités. Parmi les secteurs phares, en plein essor au sein du territoire marocain, les centres d’appels et BPO occupent indéniablement une place prépondérante.
Considéré par certains comme l’un des plus beaux endroits du monde, le Maroc présente des attraits irrésistibles pour y vivre et pour faire fructifier ses affaires. Outre ses paysages somptueux, ses merveilleuses villes comme Marrakech, un des lieux les plus touristiques du Maroc, Rabat et Casablanca, le pays séduit de plus en plus les entrepreneurs étrangers.
En effet, le pays dispose des meilleurs atouts pour investir et les chiffres actuels parlent d’eux-mêmes ; selon l’agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) du Maroc, on comptait en 2015 : 300 centres de relations clients, 80 BPO (Business process outsourcing) avec un effectif total de plus de 50 000 personnes.
Il est clair que de nombreuses destinations existent avec des avantages qui mettent le Maroc encore plus en concurrence. Cependant, avec l’ampleur inégalée qu’a prise le Maroc durant cette dernière décennie — notamment en mettant tout en œuvre pour répondre aux défis majeurs que les autres pays peinent à relever —, on peut sans ambages affirmer que le pays a pris une bonne longueur d’avance sur ses autres concurrents.
Voici 5 atouts de taille qui placent le Maroc comme l’endroit incontournable pour réussir son projet d’externalisation.
La proximité géographique est une excellente raison d’externaliser ses activités au Maroc, car cela facilite les échanges entre les collaborateurs et les prestataires de service.
Voilà pourquoi les investisseurs des quatre coins du globe se sont empressés d’exploiter cette terre de délocalisation par excellence. À l’instar des groupes comme Capgemini, Atos Origin, Steria, les centres de relations clients se sont aussi imposés sur les terrains de l’Empire chérifien pour externaliser leurs activités.
Pour ce faire, ils ont choisi les plus grandes villes marocaines telles que la capitale Rabat, Marrakech, sans oublier Casablanca, notamment le Nearshore Park représentant une superficie de 250 000 m² d’espaces bureaux et de commerces.
Le régime politique marocain est une monarchie constitutionnelle avec le roi Mohammed VI à la tête de l’État depuis 1999. Le chef suprême a entretenu de nombreuses relations économiques pour le pays, en l’occurrence celles avec la France.
L’État marocain propose aussi une législation souple en vue d’encourager les investissements venant de l’extérieur. Le développement des centres de relations client est un levier économique pour le pays et le gouvernement prône ouvertement sa croissance. Il présente en ce sens des avantages fiscaux intéressants, comme l’exonération de l’impôt sur les sociétés pendant les 5 premières années, puis un abattement fiscal de 50 % par la suite. De plus, le Maroc propose un taux d’impôt sur le revenu de 20 % uniquement et des subventions sont accordées pour le recrutement et la formation de main-d’œuvre marocaine.
Par ailleurs, la sécurité est parfaitement assurée. Un dispositif appelé « Hadar » (ou vigilance) a été mis en place pour protéger les citoyens marocains et visiteurs étrangers.
Le Maroc possède des infrastructures technologiques de qualité, voire l’un des plus modernes du monde selon un rapport de « Global competitivness 2015 », l’organisation basée à Genève. Ainsi, il reste un véritable pionnier au Maghreb et en Afrique du Nord en matière de technologies de l’information et de la communication (TIC).
Le Maroc possède des ressources humaines de qualité qui se prêtent au développement des métiers de centres de contact.
Pour répondre aux attentes des investisseurs étrangers, des certifications de plus en plus exigeantes sont délivrées. Les jeunes Marocains doivent désormais être très compétitifs pour pouvoir obtenir une place au sein des centres de contact ; le but est d’avoir un niveau adéquat pour concurrencer leurs homologues des autres pays offshore. De plus, des formations continues sont dispensées pour augmenter le niveau de compétences des employés marocains.
Qui plus est, solliciter la main-d’œuvre offre un excellent rapport qualité-prix en comparaison avec celle de la France ; quoi de plus profitable qu’une main-d’œuvre jeune et qualifiée à moindre cout et disposée à évoluer dans ce secteur ! Les Marocains possèdent une expertise reconnue dans les opérations commerciales et marketing. Grâce à leurs solides compétences et leur grande polyvalence, ils sont aptes à effectuer plusieurs missions telles que la téléprospection, la télévente et d’autres missions liées aux métiers de centres de contact.
Avec une population comprenant plus 35 millions d’habitants, plus de 10 millions de personnes maitrisent le français surtout dans les milieux urbains. Le Maroc est également membre de l’Assemblée parlementaire de la francophonie.
En outre, les Marocains sont ouverts à de nombreuses autres langues comme l’anglais et l’espagnol ; une aubaine pour que les autres investisseurs étrangers puissent développer leur business comme leurs homologues français ou pour les Français qui souhaitent élargir leur clientèle.
Pour en savoir plus sur l’externalisation au Maroc, contactez-nous.