Archives de catégorie Actualités

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Maroc Numeric Fund II

Maroc Numeric Fund II : 200 millions DH destinés aux jeunes entreprises marocaines

La MITC, société gestionnaire du parc d’activités Technopark de Casablanca, envisage de fournir un apport de 200 MDH aux startups du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Pour concrétiser ce projet, ce dispositif appelé Maroc Numeric Fund II obtient l’appui du programme baptisé « Innov Invest » de la Caisse centrale de garantie (CCG) et des trois banques BMCE Bank, Attijariwafa Bank, et Chaâbi Capital Investissement.

Le but du MNF II est d’encourager les entrepreneurs marocains en vue de les aider à développer leurs activités et être (encore) plus compétents dans leur domaine. En outre, une part de 20 % sera puisée du fonds d’investissement afin de financer les secteurs de greentech, de biotechnologies ainsi que tout autre secteur généraliste à fort potentiel.

Dounia Boumehdi, directrice générale de MITC Capital (société en charge de Maroc Numeric Fund II et du précédent programme : Maroc Numeric Fund I) est très satisfaite de ce projet  : « Le fonds de 200 millions de dirhams nous permettra de capitaliser sur notre expérience et poursuivre nos opérations dans le financement et le soutien des startups opérant essentiellement dans le secteur des TIC. » Il faut aussi travailler « en bonne intelligence avec l’ensemble des fonds et structures d’accompagnement retenus dans le cadre du programme Innov Invest », ajoute-t-elle.

De son côté, Lamiae Benmakhlouf, responsable du Technopark, confie que MITC a déjà contribué à hauteur de 20 % au premier financement Maroc Numeric Fund I (100 MDH) où « 6 entreprises du Technopark, sur un total de 17 participations, ont bénéficié du soutien de financement de MNF».

Ce nouveau projet est établi en parallèle avec la stratégie Tech-Innov  de Technopark, en collaboration avec IBM et Happy Ventures, dans le soutien des startups innovantes les plus porteuses du secteur numérique. Un programme visant à accompagner, booster, former et certifier ces jeunes entreprises.

Si vous avez besoin de plus de renseignements sur la création d’une startup au Maroc, contactez-nous.

Source : http://www.tic-maroc.com/2017/11/maroc-numeric-fund-2-200-millions-dh-financer-startups-maroaines.html

 

 

 

 

 

 

 

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Cybersécurité : Nouveau Cheval De Bataille Au Maroc ?

91 % des professionnels Marocains soulignent l’importance de la sécurité informatique. C’est ce que révèle l’enquête de Kapersky Lab, en partenariat avec le cabinet d’études Averty, sur les comportements et attitudes des professionnels liés à la sécurité informatique au Maroc.

Nous connaissions tous la position prédominante du Maroc dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Après avoir été désigné comme l’une des nations les plus sophistiquées du monde par le rapport Global competitiveness 2015 de Genève, l’Empire chérifien a un nouvel objectif à atteindre : renforcer son implication en matière de protection informatique.

L’étude de Kapersky Lab a été faite en ce sens pour évaluer la situation de la cybersécurité au Maroc. Avant d’aller plus loin, il faut savoir que l’enquête a réuni 714 personnes, âgées de 21 ans et plus. Elles sont réparties sur 40 villes (dont 26,5 % de l’axe Casablanca-Rabat, 12,5% d’Agadir, 9 % de Marrakech et 8 % de Fès) et exercent dans 26 domaines d’activité différents et des entreprises de toute taille. L’ensemble des répondants indiquent qu’ils font usage d’un support électronique dans le cadre professionnel : 46,2 % utilisent des ordinateurs fixes, 28,8 % des ordinateurs portables, 30,1 % ont plutôt recours aux smartphones, alors que 6,9 % utilisent des tablettes.

L’antivirus, l’outil le plus prisé des professionnels marocains

Pour lutter contre les cyberattaques, une grande majorité des sondés (84.6 %) précisent avoir recours principalement  à l’antivirus. Ainsi, 63 % des menaces informatiques les plus fréquentes s’avèrent être des virus contre 21.4 % qui sont des logiciels malveillants et 16.9 % causant la perte de données. Et 21 % des entreprises révèlent avoir déjà subi une cyberattaque.

Il faut noter aussi l’intervention du département de l’informatique dans seulement 50 % des cas des problématiques. Le reste des répondants confient que c’est soit l’utilisateur, soit un prestataire externe de l’entreprise, des collègues ou des connaissances en dehors de l’entreprise qui s’en occupent.

En ce qui concerne les rançongiciels tels que Wanacry et Petya, près de 80 % pensent être susceptibles de ces attaques. Julien Pulvirenti, responsable des ventes pour l’Afrique du Nord, est très concerné et fait un appel contre ces dangers pour la sécurité informatique. Il propose en ce sens de miser sur l’éducation et la formation pour « lutter efficacement contre la cybercriminalité ».

En effet, 40 % des personnes interrogées disent avoir déjà branché sur leurs terminaux des clés USB étrangers et 33 % affirment avoir au moins une fois cliqué sur des fichiers envoyés par des inconnus. De plus, 46 % confient ne pas changer de mots de passe – un facteur qui place directement l’utilisateur dans le collimateur des pirates informatiques. Et près de 30 % ne tiennent pas compte des règles de sécurité, comme lorsque l’on retarde les mises à jour par exemple.

Pulvirenti aspire à ce que « les investissements technologiques et humains en la matière deviennent des priorités.» Selon lui, « internet étant maintenant devenu un pilier de nos existences, la cybersécurité doit faire partie intégrante de l’éducation, tout au long de nos vies, autant d’un point de vue personnel que professionnel ».

Besoin de plus de renseignements sur l’externalisation des activités au Maroc ? Contactez-nous.

Source : http://www.tic-maroc.com/2017/11/lantivirus-est-loutil-de-protection-plus-frequent-ches-les-professionnels-au-maroc.html

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Fès Se Prête A Merveille A L’Externalisation

Avec l’avènement des technologies de plus en plus sophistiquées et de la délocalisation des activités, la ville de Fès est devenue une destination incontournable pour le secteur de l’offshore. Actuellement, 30 centres de relations client sont en activité dans la région et comptent un effectif total de 5 000 personnes. Et le parc Fès Shore dispose, à lui seul, de plus de 50 % de l’effectif. Un responsable de la ville confie qu’en 5 ans, ils ont créé plus d’emplois que l’industrie en 20 ans.

Les dirigeants de Fès affichent clairement leur optimisme et révèlent « que la construction de la 2e tranche de Fès Shore est prévue incessamment ». Selon eux, « Fès doit miser sur les secteurs innovants, générateurs de valeur ajoutée et notamment les TIC ».

La région est idéale pour les investissements venant de l’extérieur. En effet, elle possède de nombreux atouts : cinq universités (180 filières), 123 centres de recherches et laboratoires, 101 unités de formation et un institut national de plantes médicinales et aromatiques.

Acticall-Sitel Group, entreprise spécialisée en relations client à distance, a ouvert un nouveau centre à Fès Shore depuis 2015. Avec une superficie de 4 081 m ², le plateau d’Acticall comprend 677 salariés et vise à atteindre au moins 800 en 2018. En vue de répondre au mieux aux besoins de ses clients, le groupe « compte ouvrir un deuxième site à Fès à l’horizon 2019 compte tenu de la bonne performance réalisée par le premier site de Fès », laisse entendre Vincent Couchard, directeur de la filiale de Fès.

Parallèlement, Mohsine Touali, directeur du site CGI Fès Shore, est d’avis que « la ville de Fès a été logiquement choisie pour son bassin d’emploi dynamique avec un vivier de talents du numérique très riche, grâce notamment à l’Université Euro-Méditerranéenne de Fès (UEMF) ». De plus, il souligne les partenariats stratégiques avec l’université de Fès et l’école INSA Toulouse établie à Fès.

Il faut le noter : CGI est un groupe canadien indépendant de services en technologie de l’information et en gestion des processus d’affaires. La filiale marocaine compte 70 salariés depuis sa création en 2016. Mohsine Touali prévoit 250 salariés d’ici 2019 et se réjouit de « s’inscrire dans la dynamique économique de Fès en tant que première ESN (Entreprise de services du numérique) majeure à y accueillir de nouveaux talents ».

Les éloges sur Fès n’en finissent pas de pleuvoir, cette fois-ci du côté d’Amine Zarouk, directeur de la filiale d’Alten Maroc. Il qualifie la ville comme « un bassin RH abondant et de qualité, un niveau de vie relativement bas par rapport à une métropole comme Casablanca et un turn-over moins important que la moyenne du secteur ». Grâce à l’infrastructure du parc Fès Shore, ce pionnier de l’ingénierie et du conseil en technologie peut relever les défis majeurs et satisfaire aux besoins des clients les plus exigeants.

Depuis 3 ans, Alten Maroc est active sur le territoire marocain et compte aujourd’hui 250 collaborateurs. Les objectifs du groupe sont d’élargir sa clientèle à travers toute l’Europe sur les activités software. Pour ce faire, Zarouk envisage de gonfler son effectif à 500 collaborateurs jusqu’à 2020, et 1000 à terme. Il termine en affirmant que « le parc Fès Shore donne un important avantage en termes de réactivité favorisant une extension rapide ».

Besoin de plus de renseignements sur l’externalisation des activités au Maroc ? Contactez-nous.

Source : http://www.leconomiste.com/article/1020218-fes-se-positionne-sur-l-economie-du-savoir